Easy Tech #17 - 7 conseils pour un débutant dans la tech
Ce que je dirais au Victor d'il y a quelques années
Salut à toi,
J’espère que tout va bien de ton côté.
Cette semaine je te propose une édition plus courte pour creuser concrètement quelques conseils pour tout junior qui démarre.
D’ailleurs, je pense qu’ils valent aussi très bien pour tout profil qui travaille dans la tech.
💡Avant de commencer, j’ai besoin d’un petit coup de main. Je construis une formation sur le Product Management, j’aimerais bien avoir ton avis, c’est ici
(promis ça prend 3 minutes max à remplir 🙏)
7 conseils pour performer dans la durée
1️⃣ Continue à apprendre tout le temps
Pourquoi :
Raison 1 : ne pas être remplaçable
C’est un peu provocateur dit comme ça. Mais il faut être conscient que les choses changent beaucoup et rapidement dans l’écosystème tech. Être capable d’apprendre tout le temps de nouvelles compétences, c’est assurer sa pérennité sur le marché de l’emploi ou dans sa boîte. Sinon, tu risques de voir tes compétences stagner et être moins attractif que de profils plus juniors (et moins chers) qui auront ces compétences.
Raison 2 : garder le contrôle sur sa carrière
Une carrière se construit dans la durée, avec une vision long terme. Mais également avec des petits pas, jour après jour. C’est la somme de ces petites actions qui construisent ce que tu es dans la durée. En apprenant tout le temps, chaque jour, tu grossis à long terme tes compétences et tu es plus à même d’infléchir ta carrière comme tu le souhaites. Tu seras plus intentionnel dans l’évolution des choses et c’est précieux.
Raison 3 : pour maîtriser à 100% les principes structurants
Quand on s’efforce de continuer à apprendre de nouvelles choses jour après jour, on identifie de grosses et importantes nouvelles avancées. Mais on se rend compte également que les principes structurants restent globalement les mêmes :
→ Les enjeux de l’agile sont toujours les mêmes qu’il y a 20 ans
→ Les comportements humains obéissent aux mêmes lois
→ Internet fonctionne toujours de la même manière
Bref, en se forçant à découvrir de nouvelles choses, paradoxalement, on ancre dans son esprit et sa pensée les principes structurants sur lesquelles ces choses se bâtissent.
En pratique :
Pour ne pas se perdre, il faut choisir ses batailles.
De manière générale, je suggère de procéder en 3 temps.
→ 1️⃣ Identifier les principales compétences que tu devrais développer en fonction de ton job cible / de rêve / à long terme
Si tu veux être CEO d’une grande entreprise, tu dois maîtriser le business, le management et les finances. Mais ce serait des sujets différents si tu voulais être CPO, ou CTO en cible.
Attention ces compétences évoluent aussi avec le temps, en fonction des évolutions des technologies, des usages ou du marché.
→ 2️⃣ Acquérir un vernis pour être sensibilisé à ces sujets
Pour ne pas perdre de temps à essayer de tout creuser, je suggère d’essayer de se focaliser juste sur une compréhension globale de ces compétences au sens large.
Par exemple, un profil Product doit maîtriser le business, l’UX design, la tech et les méthodos produit / agile. C’est important de comprendre ce que ces différentes disciplines recouvrent. Oui c’est juste un vernis, ça ne fait pas de toi un expert. Pour autant, cela t’aide à générer une première sensibilité, intuition du sujet.
→ 3️⃣ Choisir 1 ou 2 expertises tous les 3 mois, et les creuser à fond
Encore une fois, on ne peut pas tout couvrir, tout maîtriser et tout apprendre. J’aime bien choisir 1 ou 2 expertises tous les 3 mois et les creuser à fond. Pour choisir, je prends en général les expertises : (1) qui me plaisent, (2) qui me semblent les plus pertinentes niveau business pour moi.
Par exemple, ces temps-ci, je me forme beaucoup sur les sales / la vente (business) et le no code (tech).
Dans 3 mois, je vais garder les sales / la vente, parce que je pense qu’il faut que je creuse encore plus, en revanche je vais switcher no code sur SEO.
Sur le sujet des expertises à développer, je te recommande de lire cet article très intéressant de Naval Ravikant sur la “specific knowledge”.
2️⃣ Construis un produit quelqu'il soit
Pourquoi ?
Quelque soit ton travail ou ton rôle, c’est important de construire des choses et d’être dans l’action. “Faire” est la meilleure manière de progresser.
Pour deux principales raisons :
→ Premièrement, la théorie seule ne suffit pas. Oui pour progresser ça peut être pertinent de lire des livres. Mais, (i) on n’est pas tous égaux face à la lecture. Et ça reste un travail fatiguant intellectuellement. Ensuite, (ii) même si tu lis des bibliothèques entières, ça ne suffira pas pour devenir expert du sujet. La théorie a besoin de pratique pour être sublimée, pour être illustrée. Ce n’est qu’au prix de la pratique et de l’action, que ce que tu as emmagasiné au niveau théorique sera compris et assimilé.
→ Deuxièmement, une quantité de pratique incompressible est nécessaire. On a vu que la pratique permettait de sublimer la théorie. Il y a aussi beaucoup de choses qui ne peuvent pas être anticipés sans avoir pratiqué. Cette expérience, tu la génères sur des vrais produits / projets. Il y a toujours des choses que tu vas sous-estimer avant qu’elles te posent problème. Ou des choses nouvelles, que tu n’avais même pas anticipé.
Comment faire ?
N'importe quel produit fait l'affaire. Idéalement, c’est dans le cadre de ton job actuel. Comme ça, c’est encore mieux, tu es payé pour progresser et monter en compétences.
Si tu bosses déjà sur un produit à l’heure actuelle, assure-toi que le produit sur lequel tu bosses est bien challengeant et te permet de développer de nouvelles compétences. Sinon, essaye de trouver un autre chantier sur lequel t’investir.
Si tu ne bosses pas sur un produit à l’heure actuelle, demande à t’impliquer sur ces enjeux au sein de ton entreprise. Même si tu n’es pas à 100%, essaye de te confronter aux problématiques que voient au jour le jour les opérationnels qui bossent dessus.
Si tu n’as pas de possibilité de le faire dans le cadre de ton job actuel, tu peux le faire en "side project". C’est à dire, à côté de ton job, en dehors de tes heures de travail. C'est mieux si c'est un produit digital. Mais il ne faut pas être trop exigeant sur la forme. Une macro Excel pour organiser tes vacances peut faire l’affaire. Ou un tableau pour piloter l’argent sur ses comptes bancaires. Au delà du produit, l’objectif est d’adopter le bon mindset.
💡 Les questions de l’état d’esprit produit
→ Est-ce que ce produit répond à un vrai problème ?
→ Comment je peux m’assurer que je traite bien ce problème ?
→ Quelles seraient les principales fonctionnalités pour constituer une bonne solution ?
→ De quelle manière je peux apporter de la valeur avec un minimum de fonctionnalités ?
J’ai beaucoup détaillé ce sujet dans cette édition EasyTech #3 sur les side projects.
3️⃣ Sois à l'écoute de l'écosystème
Pourquoi ?
Pour mieux comprendre ce que c’est que “la tech”. C’est un domaine compliqué. Avec pas mal de ramifications et de questions complexes à résoudre. Alors c’est pertinent de parler avec des gens qui vivent dans cet écosystème au jour le jour. En confrontant les visions, ça permet de mieux naviguer dedans et d’être plus au clair dans sa pratique.
Pour mieux suivre les actualités. La tech est un domaine mouvant qui évolue rapidement. Ce n’est jamais facile de tenir le rythme tout seul dans son coin. Et puis même en voyant les choses bouger, on ne repère pas toujours les bons signaux faibles. C’est à ça que sert l’écosystème également.
Pour apprendre plus vite des erreurs des autres. La tech est un monde où comme on l’a dit, la pratique compte beaucoup. Écouter les retours d’expérience de ceux qui sont passés par les mêmes difficultés que nous, est une super manière de progresser.
Comment faire ?
→ Aller regarder ce qui se dit sur le sujet
LinkedIn est un endroit où des contenus de qualité sont partagés. Notamment en français. N’hésitez pas non plus à aller voir ce qu’il se passe dans la sphère anglophone sur Twitter. Il y a beaucoup de valeur à aller chercher à ce niveau là. Sans rentrer dans les effets de mode (ChatGPT / IA), c’est une très bonne manière de prendre la température de temps en temps.
→ Suivre des conférences
C’est une étape supplémentaire mais qui est intéressante également. Les posts LinkedIn ça reste des contenus bien copywrités et présentés. Pour autant, parfois c’est intéressant d’avoir le “behind the scene”, d’écouter les personnes qui parlent sans enjoliver. Les conférences permettent de bien faire ça. De plus, c’est aussi une bonne manière de rencontrer d’autres passionnés par ce sujet.
→ Discuter avec des personnes qui bossent dans ce monde
Tu connais forcément. des gens qui ont un lien de près ou de loin avec la tech. Dans ton entreprise actuelle. Ou bien dans ton réseau proche. Va les voir, prends des cafés, pose des questions. C’est une excellente manière de progresser et de s’élargir ses perspectives.
D’ailleurs c’est en lien avec le point 4️⃣ sur les discussions avec les experts 👇
4️⃣ Va discuter avec des experts
Pourquoi ?
En premier lieu parce que parler avec des experts va stimuler ton ambition ! En voyant ce que d’autres ont accompli avant toi, ça va te donner envie d’en faire plus. C’est important pour sa motivation. Ça peut être dur dans le long terme, il y a toujours des hauts et des bas. Donc avoir une ambition forte permet d’être “drivé” et de ne pas lâcher quand c’est difficile.
En deuxième lieu parce que se créer un réseau important, en quantité et en qualité, est structurant. Ça va te permettre de te faire connaître, de générer des opportunités et d’étendre tes perspectives (professionnelles mais aussi intellectuelles). Bref, à ne pas négliger. Surtout, le réseau a un fonctionnement en “intérêt composé”. Ton réseau t’apportera de + en + de valeur, dans le temps, à investissement constant. Et plus tu commences tôt, plus ça arrivera vite.
En troisième lieu, cela permet de trouver des solutions à des problèmes que tu rencontres, en avance. Comme on l’a dit, dans la tech, la pratique est incontournable. Lorsqu’on rencontre des écueils et des obstacles, c’est difficile de trouver une solution. Aller voir des experts qui maîtrisent le sujet va t’aider à ne pas trop chercher par toi-même.
Comment faire ?
→ Se poser des questions sur ce qu’on veut accomplir
Pour bien réseauter et rencontrer les bonnes personnes, il faut que tes objectifs soient a minima un peu clairs.
💪 Tu veux progresser en tant que Product ? Va plutôt voir des CPO, Head Of.
💪 Tu veux progresser en tant que dév ? Va plutôt voir des CTO, senior archi.
💪 Tu veux progresser en tant que Designer ? Va plutôt voir des Head of Design.
C’est une activité d’introspection qui est toujours agréable et plaisante. Ça permet de rêver un peu !
→ Identifier les profils pertinents dans son réseau
Et là j’attends ton objections “je n’ai pas de réseau”. Si ! On a toujours des gens dans son réseau. Il suffit de chercher.
🎯 Via son cercle d’amis.
🎯 Via les réseaux de son école.
🎯 Via ses relations LinkedIn.
🎯 Via son entreprise ou ses entreprises passées.
Même si LE profil parfait n’est pas dans ses endroits, tu peux tout de même tenter d’aller le contacter directement. Si tu es clair et sincère dans ta demande, pas de risque que ça ne fonctionne pas.
→ Préparer ces échanges pour en tirer le maximum
Il faut un peu préparer en amont, au moins pour deux raisons :
(i) C’est comme ça que tu en tireras le plus de valeur
(ii) Pour ne pas faire perdre de temps à ces personnes qui t’accordent un peu de leur temps
5️⃣ Analyse la politique interne
Pourquoi ?
Il faut déjà s’entendre sur ce qu’on appelle la “politique” et la “prise de décision”.
La “politique” renvoie à l’ensemble des relations entre individus au sein d’un groupe ou d’une organisation. Mais au delà de ça, c’est aussi la manière dont ces individus liés par des relations discutent, argumentent et échangent en but d’accomplir des choses ensemble.
La “prise de décision” renvoie elle à la manière dont des individus décident les choses qu’ils veulent accomplir ensemble. En quelque sorte, la “prise de décision” prise par un groupe de personnes est influencée par la politique en son sein.
C’est important de maîtriser ces concepts et leur matérialisation au sein de groupes pour deux raisons :
→ 1️⃣ d’abord c’est le nerf de la guerre. À un moment ou à un autre, ces mécanismes de prise de décision et la politique interne décident de où l’argent part et de comment cet argent doit être utilisé. On préfère que ça soit pour supporter nos idées.
→ 2️⃣ ensuite c’est un soft skill important, en particulier dès que tu commences à être positionné sur des jobs plus seniors. Maîtriser ces choses t’aideront à progresser plus vite. Ne pas les maîtriser te ralentira.
Comment faire ?
Je vois trois manières de progresser sur ces enjeux :
→ Premièrement, apprendre à analyser les écosystèmes. Dans tout écosystème, on voit des personnes avec différents intérêts. Les intérêts sont rarement tous complètement convergents. Parfois, c’est même l’inverse : A a intérêt à ce qu’on fasse une chose ; B a intérêt à ce qu’on fasse son contraire. C’est crucial d’identifier ces intérêts afin de comprendre qui est susceptible de te soutenir, et inversement, qui risque plutôt de te nuire.
→ Deuxièmement, comprendre les mécanismes de prise de décision. Dans toute organisation, la manière de prendre les décisions est soit codifié / formalisé, soit implicitement connu par les différentes parties prenantes. Là où le premier point focalisait sur les acteurs “statiques” de la prise de décision, ce deuxième point est focalisé sur l’analyse de la mise en musique de ces personnes dans le cadre d’une décision. Maîtriser également ces enjeux te permet d’être dans la bonne temporalité et de mettre en place les bonnes actions pour avoir gain de cause.
→ Troisièmement, être curieux et regarder autour de soi. La politique - au sens large du dessus - est partout. Non, ce n’est pas réservé aux politiciens. Partout, on trouve des individus avec des intérêts potentiellement non-alignés qui doivent décider ensemble. En être conscient, c’est se donner l’opportunité de travailler cette compétence tout le temps. Et de progresser pour en tirer le meilleur parti.
6️⃣ Bosse les soft skills à fond
Pourquoi :
D’abord parce que les hard skills subliment les soft skills. C’est un peu comme théorie / pratique. Tu peux être le meilleur expert du monde sur un sujet…
Si tu ne fais pas preuve de patience pour transmettre ton expertise.
Si tu ne sais pas bien comment l’expliquer ou le vulgariser.
Si tu prends mal les questions qu’on te pose.
C’est inutile / contre-productif.
Alors attention aux soft skills, pour ne pas être un expert qui reste dans sa tour d’ivoire.
Ensuite parce que plus tu montes dans ta carrière, plus ce sont ces compétences qui te distingueront. C’est en tout cas la manière dont se passent en général les carrières en France. Au démarrage, on va attendre de toi que tu développes des compétences “dures”, ces fameux hard skills ! Mais ensuite, on va attendre de toi que tu sois bon en communication, en relationnel ou en politique interne. Ne néglige pas ces aspects et essaye d’investir dessus très tôt, pour te différencier.
En pratique :
On peut déjà se demander ce que sont les “soft skills”. Pour moi, s’agissant de la tech, voici les principales qui me viennent en tête : empathie ; sociabilité ; esprit entrepreneurial ; organisation ; communication.
Pour progresser sur celles-ci, en pratique, il faut faire comme dans le conseil 1️⃣ !
→ 1️⃣ Identifier les “angles morts”
On a tous des forces et des points où on l’est moins. Il faut être clair sur ses forces pour capitaliser dessus et identifier ses axes d’amélioration pour se focaliser sur eux pour progresser.
→ 2️⃣ Mettre en place des plans d’action pour progresser dessus
De mon côté, en tant que PM, la communication est un aspect central. J’ai besoin d’être convaincant, d’expliquer bien les choses et de parler clairement à mes utilisateurs ou sponsors. Et récemment j’ai trouvé ne pas être suffisamment efficace en prise de parole en public.
Mon plan d’actions a été : (i) de saisir toutes les occasions possibles pour parler en public ; (ii) de bien me préparer en amont et d’avoir des points d’attention pour ces interventions ; (iii) après coup, d’analyser comment je m’étais débrouillé.
→ 3️⃣ Mesurer en continu pour ajuster
C’est important de mesurer pour savoir si le plan d’actions a été efficace ou non. Derrière, on ajuste le plan pour atteindre le niveau voulu. Et tu peux lancer un plan d’actions en parallèle sur une autre compétence, tant que ça ne te charge pas trop en termes de travail.
7️⃣ Lis des livres généralistes
Pourquoi ?
Premièrement, c’est agréable à lire. Les livres théoriques peuvent parfois être rébarbatifs et difficiles d’accès. Surtout si c’est en anglais ! Tu as pas mal de biographies, de livres sur l’histoire de la tech ou de présentation de fonctionnements internes de boîte qui sont intéressants. Souvent, ce sont des choses que tu peux lire avec un poil moins de concentration en apprenant tout de même.
Deuxièmement, c’est inspirant. Quand tu lis une biographie comme celle de Steve Jobs, ça te booste. Tu as envie de créer des produits exceptionnels. Tu as envie de progresser pour être aussi efficace et perfectionniste. Tu as envie d’avoir autant d’impact que lui. Voir ce que les autres ont accompli avant nous, ça nous montre la voie à suivre et ça nous donne envie de passer à l’action.
Troisièmement, c’est de la culture générale tech. Il y a pas mal de concepts ou de choses qui font partie du bagage général de la tech. Si on ne les maîtrise pas, on risque d’avoir plus de mal à s’intégrer ou de mal comprendre certaines discussions. Par exemple, les “two-pizza teams” (équipes qu’on peut nourrir avec deux pizzas) de Jeff Bezos sont très célèbres. Ça te facilite la vie quand tu maîtrises la référence dans une discussion.
Comment faire ?
Voici quelques idées de livres généralistes qui te permettront d'acquérir une vision plus macro / stratégique sur les sujets tech :
→ La biographie de Steve Jobs
→ How google works de Eric Schmidt
→ Lean Start Up de Eric Ries
→ No rules rule sur Netflix de Erin Meyer et Reed Hasting
Ensuite, il faut se créer une mini routine de lecture. Par exemple, 30 minutes par jour avant de se coucher. Je recommande aussi de ne pas trop regarder à la dépense sur les achats de livres de ce type - enfin dans une certaine limite. 50€ en livres de ce type par mois, ça ne me choque pas.
💡Mini rappel, j’ai besoin d’un petit coup de main. Je construis une formation sur le Product Management, j’aimerais bien avoir ton avis, c’est ici
(promis ça prend 3 minutes max à remplir 🙏)
On se retrouve à la rentrée 🙌
Merci de m’avoir lu.
Je vais faire une petite pause en août. On se retrouve à la rentrée !
Si tu es trop impatient pour attendre, tu peux :
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Victor